Niki de Saint Phalle, Il faut faire saigner la peinture
Promotion du livre d’Elisabeth Reynaud
A l’occasion de la rétrospective au Grand Palais le 17 septembre, Elisabeth Reynaud raconte l’incroyable destin de Niki de Saint Phalle. Celle-ci disait : « Je suis parvenue à apprivoiser mes monstres, à jongler avec eux. » Domptant sa difficulté de vivre par son génie créatif, Niki de Saint Phalle s’est imposée parmi les grands artistes du siècle écoulé. Élisabeth Reynaud retrace le destin peu banal d’Agnès de Saint Phalle, future Niki. Un livre bouleversant. Élisabeth Reynaud retrace le destin d’Agnes de Saint Phalle, future Niki (Neuilly-sur-Seine, 1930 – San Diego, 2002). Elevée à New York, elle débute comme mannequin avant d’élaborer avec détermination une œuvre protéiforme, radicale, d’une grande vitalité : les célèbres Nanas, le Jardin des Tarots, la Fontaine Stravinsky… Domptant sa difficulté de vivre par son génie créatif, elle s’est imposée parmi les grands artistes du siècle écoulé. Plasticienne, peintre, sculptrice, réalisatrice de films, elle affirmait : « Je suis parvenue à apprivoiser mes monstres, à jongler avec eux. » Mais qui fut vraiment la femme derrière l’artiste, elle qui disait vouloir « faire saigner la peinture » ? Élisabeth Reynaud retrace le destin d’Agnes de Saint Phalle, future Niki (Neuilly-sur-Seine, 1930 – San Diego, 2002). Elevée à New York, elle débute comme mannequin avant d’élaborer avec détermination une œuvre protéiforme, radicale, d’une grande vitalité : les célèbres Nanas, le Jardin des Tarots, la Fontaine Stravinsky… Depuis les Tirs, peintures iconoclastes et violentes de ses débuts, jusqu’aux sculptures monumentales issues de la collaboration avec son mari Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle n’aura cessé d’explorer les méandres de son inconscient. Pour en savoir plus